Il n’aurait pas un peu de mal parfois python ?
Résultat d’une addition simple avec ipython (python 2.7.9).
Il n’aurait pas un peu de mal parfois python ?
Résultat d’une addition simple avec ipython (python 2.7.9).
Ce qu’il y a de chiant avec le pain perdu c’est que souvent le pain est tellement dur que l’on arrive pas à couper des tranches correctes. Tout part en miettes. De plus les morceaux de pain récupérés s’imbibent très mal du lait/œuf dans lequel on le trempe. On gâche du lait et des œufs et le pain perdu n’est même pas bon car trop dur au milieu.
Du coup c’est l’occasion de ressortir le mixeur acheté pour le p’tit dernier que l’on utilise pas de toute façon car les petits pots industriels c’est bien plus simple.
Les ingrédients:
Pour les quantités je vous laisse juge 😉
Alors la recette est simple il suffit de bien mixer le pain dur pour le transformer en chapelure. On ajoute ensuite les œufs le lait et le sucre + sucre vanillé. Une fois que tout est bien mélangé ajouter de la farine jusqu’à obtenir une pâte qui soit pâteuse … enfin pas liquide quoi.
Après ça on met du beurre dans une poêle et on fait frire des petits tas de pâtes avec une grande cuillère.
Et voilà :
L’apparence est proche du pain perdu habituel et le goût aussi !
Aller bon app’ et n’oubliez pas de donner à manger au p’tit quand même 😉
En grand fan de BD je passe souvent dans mon magasin de BD d’occasion préféré à Mulhouse. Histoire d’essayer de compléter une série à moindre frais, ou pour découvrir de nouveaux auteurs.
J’ai même découvert récemment qu’ils possèdent un site internet avec la liste des bd d’occasions qui sont dans leurs bacs.
Pour éviter de faire trop de doublons et pour pouvoir faire le point sur ma bédéthèque j’utilise le site bdphile.info. Ce site permet de créer un compte et d’enregistrer sa bédéthèque en entrant l’ISBN de chaque BD.
Je peux désormais partager ma collections via mon compte public, mais surtout cela me permet de lister mes séries incomplètes.
Il manquait une «killer-feature» à bdphile: quand on affiche la liste de ses séries, faire un liens sur le site de tribulle pour savoir s’ils ont les albums en occasion (on trouve toujours en neuf il suffit de commander).
Pour combler ce manque, j’ai donc écris un petit script greasemonkey disponible ici.
Un fois le script installé dans son navigateur Firefox, la page du site bdphile qui liste ses série ajoute un lien (occasion) vers la série en question sur le site de tribulle. De cette manière je sais quand une bd est disponible en occasion pour combler une série.
Ayé j’ai craqué, je me suis acheté un gouzi-phone. J’attendais qu’il existe un téléphone suffisamment libre pour pouvoir faire le grand saut.
Et c’est chose faite avec FirefoxOS qui est maintenant disponible en france grâce à ZTE (des chinois et oui).
Bon par contre c’est encore une version beta et il manque quelques fonctionnalités essentiels comme la synchronisation carddav pour les contacts (avec owncloud par exemple). La synchronisation de l’agenda owncloud avec caldav fonctionne par contre très bien.
Du coup pour avoir ses contacts sur le téléphone il est nécessaire d’exporter son agenda sous forme de fichier pour les ré-importer via le lecteur sd sur le téléphone.
Pour ce faire je me suis servi de mon thunderbird (en fait icedove, car debian est un intégriste du libre) et j’ai exporté les contacts au format csv.
Hélas FirefoxOS ne supporte pas les formats exporté par thunderbird, il n’accepte que le format Vcard.
Voici donc un petit bout de programme python permettant de convertir le csv en vcard, il s’exécute simplement comme ça :
python thunderbird2vcard.py export.csv export.vcf
Il suffit ensuite de copier ce fichier sur la carte SD de son téléphone FirefoxOS et d’importer les contacts pour tous les récupérer.
Article transféré sur le blog du FLF.
Suite à mes premiers tests du GravityLight, je ne pouvais pas laisser une belle boîte comme ça sans la démonter. Surtout que contrairement aux vendeurs de prisons dorées, deciwatt a réalisé un produit qui est facilement démontable.
Premier étonnement : tout est mécanique. Les seules pièces d’électroniques sont les leds et résistance permettant de limiter le courant dans la led rouge.
Pour détecter un poids trop lourd, on voit bien sur cette dernière photo le gros ressort actionnant un contact permettant de commuter la led rouge.
La production d’électricité est réalisée par un simple moteur ferrite.
Le réglage de la puissance se fait au niveau de l’axe du moteur, en montant/abaissant de moteur on peut sélectionner le diamètre de couplage pour changer la vitesse de rotation du moteur.
L’ensemble donne une impression d’assez bonne qualité, par contre je n’y brancherais pas mon téléphone pour le recharger. Il faudrait pour cela créer un adaptateur, et surtout avoir beaucoup de patience 😉
Une fois le GL déballé, la première chose à faire pour tester notre GravityLight est de trouver un point d’accroche suffisamment solide et suffisamment haut pour pouvoir l’accrocher, chose relativement facile dans un appartement plein de poutres.
Deuxième chose à faire (et plus compliqué) est de pouvoir remplir le sac fourni avec une charge de 8 à 12 kg. Si on met moins de 8kg ça marche pas, mais si on en met trop on risque de tout casser. Comme je suis pas à la campagne, pas moyen de mettre du sable ou du gravier comme expliqué sur la notice. Du coup il a fallu faire avec les moyens du bord : patates et riz !
Mais dans le volume imparti par le sac ça n’a pas été suffisant, j’ai donc du y ajouter le poids de la connaissance : HTML5, pour que le pendule commence à descendre correctement.
Je suis assez surpris de l’engin, le système n’est pas si simpliste. Le gros bouton trois positions permet de régler la vitesse de descente du poids, et donc la puissance délivrée.
Un système permet de détecter que le poids est trop élevé au moyen d’un astucieux ressort placé au niveau de l’accroche de l’engin. Si le poids est trop élevé une led rouge va s’allumer.
Comme je l’avais expliqué dans ma précédente note, il est possible d’utiliser le courant généré pour y brancher un appareil électronique (bon faut pas être trop gourmand quand même parce qu’on peut pas compter sur beaucoup plus de 40mA). La tension délivrée (mesurée) est d’un peu moins de 9v, et le branchement de l’adaptateur va désactiver la led d’éclairage pour concentrer toute l’énergie sur l’adaptateur.
Ce qui est rigolo, c’est que si on branche juste l’adaptateur sans aucun appareil de branché dessus, la charge va se mettre à descendre rapidement (circuit ouvert). Et si on veut mesurer le courant de cours circuit avec un ampèremètre, la charge stoppe complètement sa course. Et du coup je n’ai pas encore pu mesurer correctement le courant délivré par l’engin.
Au prochain épisode copé va devoir se cacher les yeux car je vais mettre l’engin à poil ! On va s’attaquer à son démontage. Peut-être mettrais-je des photos de la bête démontée le 14 février par solidarité avec les dessinateurs 😉
Après plus d’une années d’attente, le voici enfin arrivé dans ma boite aux lettres : le GravityLight !
Le GravityLight permet tout simplement de générer de l’électricité à partir de la gravité. C’est une révolutiontm ! Plus besoin de pédaler, brancher une prise, avoir du soleil ou du vent pour avoir de l’électricité, il suffit de remonter le pendule. Certaines mauvaises langues diront que ça n’est qu’une resucée des vieilles pendules de nos grands mères … et ils auront raison !
Concrètement c’est une idée qui a germée dans la tête de deux vieux anglais qui cherchaient une solution pour éclairer les chaumières non connectés au réseau électrique. Le but principale était d’éviter l’utilisation de lampes à pétroles et autres bougies qui sont un fléaux pour les jeunes poumons dans ces populations.
On voit beaucoup de projet d’éoliennes et panneaux solaires dans ses villages reculés, mais ces solutions posent toutes le même problème de stockage d’énergie. Les batteries coûtent très cher et ne sont pas durable, elles s’usent assez vite.
Du coup l’idée toute bête (mais révolutionnairetm je vous dis) est de ressortir le vieux systèmes de pendule des horloges de grand mère pour les coupler à un générateur de courant (alternateur).
De cette manière, il suffit de remonter un poids (environ 12kg max pour le GravityLight) pour avoir de la lumière pendant au moins 30 minutes. Les poumons sont conservés, pas besoin d’acheter du pétrole ou des bougies et pas besoin d’avoir à attendre le soleil (sic) pour recharger une batterie.
Pour mener à bien leur projet, nos deux anglais on fait une levée de fonds en crowfunding sur indiegogo. Occasion que je n’ai évidemment pas loupé il y a 1 an et demi. L’objectif de prix de la chose était de moins de $10. Mais évidemment, en tant qu’européen bien grassouillet il fallait donner un peu plus pour pouvoir espérer en recevoir un chez soit ($75).
La conception et la production s’étant bien déroulée dans les temps, tous les financeurs qui avaient donnés suffisamment de $$ on donc pu recevoir leur précieux GravityLight, dans une belle boite en carton made in china.
La boite contient l’engin en lui même avec un gros bouton 3 positions permettant à mon avis de régler la puissance, un petit sac, un gros sac et une courroie avec les attaches permettant d’y fixer les sac.
En plus de ces éléments essentiels on trouve aussi un adaptateur de prise d’alimentation standard permettant de brancher un appareil électronique pour le recharger. Grâce à une prise astucieusement placée à l’arrière de l’appareil.
Je n’ai pas encore eu le temps de lui trouver un point d’accroche assez solide pour pouvoir faire des tests de production d’électricité, mais ça ne saurait tarder … suite au prochain épisode.